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23 octobre 2008

14 - A - B - Mes cheveux sont à moi

Elles montrent ses faces. Comment les femmes changent Arabie Saoudite.

Riad – Une entrevue avec une femme saoudite est un expérimente. Est-ce que ses amis passent son numéro de portable pour le rendez-vous? Est-ce qu’elle va montrer son face ? Est-ce qu’on peut parle avec elle sans des regards méchantes des autres ? Les réponses aujourd’hui sont différentes qu’avant quelques années. Une femme dit son numéro sans hésitation au téléphone. Les hommes à la table à côté agissent qu’il n’a pas vu quand elle sourit à une étranger. Pendent la conversation elle déplace la fanchon noir, ses cheveux tombent dans sa face, la climatisation souffle de en haut, elle attire le foulard à gauche, l’oreille avec le bouc d’oreille apparaitre, elle cache ça de nouveau, montre en peu de son col. Peu après elle attache la fanchon à nouveau, pour des secondes sa tête est flagrante. « Quand vous voulez savoir quelque chose sur l’avenir de Arabie Saoudite », dit-elle « vous devez demander à une femme. »

Roi Abdallah bin Abdul Asis esseye de aménager son pays, doucement, de en haut. Le devoir gigantesque d’Abdallah ressemble – avec toutes les différences – au Pérestroïka de secrétaire général soviétique Michail Gorbatschow. À la fin des années 80 il a voulu préparer l’Union soviétique pour la survie après la guerre froide. Il a prêché une moralité que beaucoup des gens ont refusée. L’ouverture été terminée avec la faillite de la grande puissance. L’Arabie Saoudite a une de la plus grande occurrence d’huile, elle se noie dans l’argent, elle a une population jeune et croissante mais les ultras conservateurs saoudites ne veulent pas une réforme. Est-ce qu’il y a aussi le danger de délabrement ? Ou est-ce que le pays va réussir et devenir une grande puissance moderne ?

Ça dépende qu’est-ce que la femme saoudite doit faire ou doit pas faire. Les saoudites ont séparé la société dans les sexes avec l’énergie énorme. Des femmes, environ la moitié de la population, participent à peine à la vie publique pour l’instant. C’est déjà connu. C’est nouveau que les saoudites parlent et écrivent sur ce thème en public. Plus les femmes sont présent plus les réformes sont célèbres. Et à l’envers.

Dschumana al-Schami travaille sur son ordinateur dans un petit café à Riad. La journaliste dénonce les frontières dans un jour ordinaire saoudite. « Presque toujours c’est sont les hommes qui font les barrières mais les femmes deviennent leurs complices quand elles ne protestent pas. » Al-Schami est grande, elle dit ça très déterminé, de la façon on n’aime pas disputer avec elle. Des barrières, dit-elle, sont souvent fait des saoudites simples. Au débout de l’année le gouvernement royal a permis que les femmes peuvent voyager sans la compagnie d’un homme. « Un très grand soulagement pour des femmes à travail mais il y a toujours des employés dans les hôtels qui n’acceptent pas cette décision. Al-Schami écrit sur les gens comme ça dans ses articlés. Ridiculiser, ça fonctionne toujours.

« Tournez ! » dit Al-Schami dans un centre de shopping. « Un plus grand chiffre des femmes ne cache plus ses faces dans la publicité. » Dans les restaurants beaucoup des femmes vont directement et fières dans la section pour les singles où les hommes étaient tout seul quelque temps avant. « Elles sont assis à côté des hommes dans les conférences et donnent leur avis. » Avant quelques années c’était impossible que les femmes saoudites montrent leurs faces dans les magazines. Quand le magazine Financial Times a donné briefing du musical Cabaret avec une photo les bras et les jambes ont été censuré. « Aujourd’hui il y a des premières modératrices » dit Dschumana.

Mais visibilité humble seulement, ça ne suffit pas. Où est-ce que les femmes ont quelque chose à dire ? À cette question on peut donner un réponds au royaume. Là, les gens saoudite choisi peuvent en parler depuis quelques années. Le conseil de Schura siége au bout de Riad. Tout autour des palmiers, l’herbe toujours vert, Check points – en dedans des couloirs infinis. Nourah al-Yousef, cacher dans un foulard noir, participe seulement quelquefois à une séance – parce qu’elle est une femme. Mais le vote de la professeur compte dans cette comité qui propose des lois au gouvernement. « Dans la dernière séance du conseil de Schura un ministre était consulté très fort » dit Nourah al-Yousef avec plaisir délicate. « Il a commencé à crier. »

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