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Hallo

14 mars 2009

Critique sur "Standard Operating Proceudre"

Standard Operating Procedure, un documentaire d’Errol Morris, est apparu en 2008. Le film s’agit des inconvénients et de la torture des personnes qui sont accusés de fait parti du terrorisme. Les personnages qu’on peut voir dans ce documentaire sont des anciens geôliers qui racontent des histoires de leur temps dans la prison. Le film est émouvant mais un peu trop long.

 

Dans ce documentaire on peut voir des gens qui parlent de ce qu’ils ont fait avec les prisonniers et on voit toujours des vraies photos de ce temps. Ces photos montrent des hommes qui sont mal traités et dans des positions inacceptable. Et sur toutes les photos il y a des surveillants qui rient et s’amusent.

Moi, personnellement, je n’ai pas aimé ce film. Les geôliers parlent de des événements terribles mais ils parlent de ça comme s’ils ne sont pas intéressés aux choses qu’ils disent. Ils ne montrent jamais des émotions. Mais je veux savoir ce qu’ils pensent de ça. Comment est-ce qu’ils peuvent vivre avec le fait qu’ils ont détruit beaucoup des hommes avec leur traitement? Bien sûr c’est intéressant de voir les faits mais ce n’est pas suffisant pour moi. À une part du film on voit une pyramide fait par des hommes nus ou à une autre part du film on peut voir un homme qui est attaqué par un chien. Et les surveillants regardent. Ils ne font rien, non, ils laissent passer un événement après l’autre. Je me demande ce qu’il s’est passé avec ces personnes. Est-ce qu’ils sont condamnés pour tous qu’ils ont faits? Est-ce qu’ils sont dans des prisons aussi maintenant et sont traité comme ils ont traité leurs prisonniers? Ce documentaire n’a pas pouvait répondre à mes questions.

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14 décembre 2008

L- M - N - Noël en Allemagne

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L’advent et Noël. Pour beaucoup des gens c’est le meilleur temps dans l’année. Partout dans le monde il est célébré. Je veux vous montrer comment on célèbre ce temps en Allemagne.

 

Dans l’advent nous nous préparons à Noël. Le mot « advent » vient du latin est veut dire « l’arrivée ». On pense à Jésus Christus qui est arrivé au monde comme enfant et qui revient bientôt comme un homme.

Dans l’advent les rues sont illuminées. Partout il y a des guirlandes et des décorations multicolores. Dans les fenêtres il y a des étoiles et des autres figures de papier. Et de beaucoup de cuisines il y a un bon arôme parce que les gens commencent à faire des gâteaux spéciaux et des biscuits.

Beaucoup des enfants ont des calendriers de l’advent. Pour chaque jour avant Noël il y a une pièce de chocolat ou une autre petite chose derrière une porte. Mais il y a aussi des calendriers de l’advent qui sont fait par les mères et qui sont pleines avec des choses comme des noisettes, des fruits, des chocolats ou des petits joujoux. Dans les vieux calendriers de l’advent on trouve une promesse biblique derrière chaque porte qui démontre l’arrivée de Jésus.

Dans beaucoup des maisons on trouve des « couronnes de l’advent », fait des branches vertes du sapin. En haut il y a quatre chandelles. Au chaque dimanche de l’advent une autre chandelle est allumée. Quand quatre chandelles sont allumées Noël est proche.

 

Le 6 décembre on célèbre le jour de Saint Nicolas en Allemagne, l’anniversaire du épiscopal Nicolas de Myra qui a vit au quatrième siècle et s’est occupé aux enfants. La veille au soir les filles et garçons mettent ses bottes avant la porte. Ils veulent que Saint Nicolas les emplisse avec des sucreries et des fruits. Quelque fois le soir Saint Nicolas vient, remettre avec un gros manteau rouge et une mitre épiscopale. Il a toujours un sac avec des cadeaux pour les bons enfants et une verge pour les mauvais enfants. Dans un grand livre il lit les bons et mauvais actes des enfants et distribue des petits cadeaux. Quelque fois Saint Nicolas est accompagné par Père Fouettard.

 

L’enfant Jésus et distribution des cadeaux de Noël est part de Noël. Cette coutume existe depuis la seizième siècle. L’enfant Jésus a envoyé un sac avec cinq choses : des Joujoux, des sucreries, une pièce de monnaie, un vêtement et des choses pour l’école. Lorsque le chiffre des cadeaux a augmenté on a mis les cadeaux sur une table des cadeaux.

Aujourd’hui il y a un sapin au milieu de cette table avec des chandelles et des boules de Noël. Il y a des gens qui mettent une crèche en-dessous de l’arbre. L’événement de Bethlehem est constitué avec des figures différentes, souvent ouvrées. Un âne et un bœuf sont dans une étable ainsi que Maria et Joseph. Quelque fois on peut aussi voir les bergers avec ses moutons ou les trois philosophes de l’Orient. Au milieu de la crèche Jésus dort dans une mangeoire.

 

Le soir du 24 décembre est le soir sacré. Beaucoup des gens vont à l’église le soir. Là on chante des chansons et écoute l’histoire de la nativité.

Après la messe c’est le temps pour les cadeaux qui sont mit en-dessous de l’arbre avant. Tout les monde attend ce moment mais le plus les enfants. Quelques enfants ont écrit une liste de cadeaux. Est-ce qu’ils vont trouver les choses qui ils sont mis sur la liste?

Le soir est validé avec un dîner avec toute la famille mais le 25 décembre on continue avec la célébration. Noël est une fête pour toute la famille.

 

L’advent et Noël est un temps d’espoir. Dans ce temps on pense à Dieu qui nous a montré son grand amour. Son amour est très grand que son propre fils est né dans une étable. C’était le cadeau de Dieu à nous. Nous le devons seulement accepter. Et de cette raison on peut célèbre Noël. Aussi quand les autres circonstances ne sont pas bons et on ne veut pas célèbre. Jésus veux donner d’espoir et d’aide à tout le monde.

10 décembre 2008

K - Guillaume Latendresse

Guillaume Latendresse est né dans la ville de Sainte-Catherine, Canada, Québec le 24 mai 1987,ce qui lui donne 21 ans.

Quand Guillaume Latendresse fut repêché par les Voltigeurs de Drummondville dans la LHJMQ, il aura été le deuxième choix tout juste derrière Sidney Crosby. Après deux excellentes années dans les rangs juniors, Latendresse a été repêché par la suite par les Canadiens de Montréal en deuxième ronde (45e au total). Cette même année il a connu un excellent camp d'entraînement avec le Tricolore. Mais malheureusement, l'establishment du Canadien a jugé préférable de l'envoyer prendre un peu plus d'expérience avec son équipe Junior.

Cependant l'année suivante fut la bonne pour le jeune homme de Sainte-Catherine. Il connu un aussi bon camp que le premier et cette fois, s'est mérité un poste dans l'alignement de départ. Après un début de saison relativement lent, le numéro 84 s'est réveillé aux côtés de Koivu alors qu'Higgins était sous le coup d'une blessure à la cheville. Au terme de sa saison, le jeune premier a accumulé 29 points en 80 parties.

3 décembre 2008

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3 décembre 2008

H - I - J New York

Quelques jours à New York – avec tout les autres étudiants échange. Avant partir tout le monde est heureux et plein des bons espoirs.

Jeudi 20 novembre, le jour du départ. Il faut que mas sœur et moi nous levons à trois heures du matin – est ça après seulement une heure de sommeil. Ça duré trop long temps pour faire nos valises.

Maintenant notre mère nous amène au rendez-vous. Nous sommes les premiers et il y a une surprise pour nous. Le bus est le bus de l’équipe de hockey, les Canadiens, et pour les vrais fans comme ma sœur et moi c’est exceptionnel.

Après et après les autres participants arrivent et chacun est vraiment gentil.

Le voyage dure sept heures mais ça se passe très vite parce que tout le monde s’entend bien.

Environ deux heures le bus avec des gens de partout du monde arrive à New York City. Et tout de suite on commence avec le programme. Le bus s’arrête devant l’Empire State Building et les étudiants montent en haut et aiment la vue magnifique.

Après ça les organisateur nous ont laissent des temps pour faire du shopping manger ou continuer à visiter New York. Puis nous allons à l`hôtel et tout les monde et les étudiants sont divisés dans les chambres. Ma et ma sur sommes ensemble avec deux autres filles qui sont vraiment gentilles et on commence a défaisons nos valises - on a assez pour deux semaines.

Puis nous nous rencontrons avec les organisateurs et allons ensemble à une place pour manger. Là on a la chance de faire connaissance avec eux qu’on n’a pas parlé dans le bus. A minuit nous retournons dans nos chambres et dormons après un jour fatigant mais bon.

Vendredi le 21 novembre. Une visite à l’United Nations est sur le programme aujourd’hui et beaucoup d’aller. Là nous sommes séparés en groupes – anglais et français. La visite guidée est très informative est intéressante.

Puis le groupe explore New York à pied. On voit le Chrysler Building, le Central Station, le Rockefeller Center, Central Park et Times Square. Au Times Square nous pouvons faire du shopping, manger et tout ça avec les autres étudiants. Le soir nous nous rencontrons pour aller à l’opéra « Le Fantôme d’Opéra ».

Samedi le 22 novembre. Aujourd’hui nous allons à Ellis Island en bateau et on passe la Statuede Liberté. Ce n’est pas trop intéressant mais à cause du groupe la visite est toujours bonne. Après le bus nous apporte au Greenwich Village ou nous avons un peu du temps pour nous. Puis on va à Chinatown et Little Italie. C’est trop bon là, mais notre séjour est assombri car le porte-feuille de ma sœur est volé. Mais quand même elle et moi faisons beaucoup de shopping. Le soir tout nos lit est pleine avec des pullovers, sac-à-gauche, T-shirts etc. C’est un bon dernier soir à New York.

Dimanche le 23 novembre – le jour du départ. Personne ne veut retourner à Montréal. Tout le monde s’est rapproché et maintenant vraiment triste de quitter ses nouveaux amis. Mais avant partir nous allons au Metropolitan Museum est passons des bonnes dernières heures à New York. Puis on revient au bus et le retour commence. Dans le bus nous changeons des adresses et des numéros. Après sept heures le bus arrive à Montréal et maintenant on doit se dire au revoir. Tout le monde s’embrasse, se donne des calins et on se permette de se rencontre bientôt.

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3 décembre 2008

E - F - G Canadiens contre Thrashers

20081202_192137_gMatt D'Agostini, Tomas Plekanec, Andrei Markov et Robert Lang , sont les gagnants du soir. Ils ont réussi les autres buts du Canadien.

Ron Hainsey, deux fois, Chris Thorburn et Jason Williams ont déjoué Carey Price.

«J'étais heureux après le match mais beaucoup moins après le troisième but des Thrashers, a dit Guy Carbonneau. On a eu une crampe au cerveau et les Thrashers en ont profité.

«Il aurait fallu continuer à jouer de façon serrée, a-t-il ajouté. Mais ces choses-là arrivent. Au moins on est revenus dans le match, on n'a pas paniqué et on a gagné.»

Le Tricolore a ainsi remporté une deuxième victoire en autant de matchs lors de ce séjour à domicile (sept rencontres), le plus long de son histoire. Ce gain a aussi permis à l'équipe de s'approcher à quatre points des Bruins de Boston installés au premier rang de l'Association Est.

Un nouveau trio

Saku Koivu et Kostitsyn ne s'étaient jamais retrouvés dans le même trio depuis qu'ils sont coéquipiers à Montréal. Guy Carbonneau a eu l'idée de les réunir dans l'espoir de relancer l'attaque. Carbo a même poussé l'expérience jusqu'à ajouter D'Agostini sur le flanc droit.

«Sergei Kostitsyn a contribué à relancer l'équipe l'an dernier lorsqu'il est arrivé à Montréal. D'Agostini pourrait avoir le même effet cette année, a déclaré Carbonneau avant la rencontre. D'agostini n'est pas un joueur de quatrième trio. C'est un marqueur naturel. Il devrait aussi être plus à l'aise en disputant un deuxième match de suite», a ajouté l'entraîneur.

Le trio n'a pas tardé à lui donner raison. D'Agostini a inscrit l'unique but de la première période en travaillant fort près du filet des Thrashers. Kostitsyn lui a remis la rondelle après avoir contourné le filet.

«Je crois avoir ma place dans
la Ligue nationale, a dit le jeune attaquant natif de Sault Ste. Marie après la rencontre. Je pense être capable de jouer avec ces gars-là. J'espère bien avoir lancé un message à la direction.

«Il y a beaucoup de profondeur dans cette équipe, a-t-il poursuivi. C'est à moi d'offrir de bonnes performances.»

Koivu a été l'attaquant le plus menaçant au deuxième vingt. Par deux fois il est venu solliciter Johan Hedberg. Mais c'est Plekanec qui a doublé l'avance du Tricolore alors qu'il a profité d'une chute du défenseur Nathan Oystrick. Son tir frappé a en eu raison de Hedberg.

Alex Tanguay croyait avoir marqué peu de temps après. Un des arbitres a refusé le but en invoquant la présence de Maxim Lapierre dans le territoire réservé au gardien.

Markov a ajouté un but avant la fin de l'engagement durant une pénalité aux Thrashers. Le Russe a saisi le retour d'un tir de Robert Lang qui évoluait au point d'appui droit pendant la supériorité numérique.

Les Thrashers ont ensuite réalisé un spectaculaire redressement au troisième tiers. Ils ont inscrit trois buts en moins d'une minute pour créer l'égalité. «J'ignore ce qui s'est passé, a dit Saku Koivu. Tout s'est déroulé tellement vite. Heureusement, on a été en mesure de robondir à 3-3 pour l'emporter en temps réglementaire.»

En avance de trois buts, le Canadien croyait avoir la victoire en poche. Mais les Thrashers d'Atlanta ont réalisé une spectaculaire remontée pour créer l'égalité en l'espace de 59 secondes au troisième tiers. Il aura fallu un but d'Andrei Kostitsyn (6e) pour permettre au Tricolore de soutirer une courte victoire de 5-4 face aux Thrashers, mardi soir, au Centre Bell.

25 novembre 2008

C - D « Le Monde selon Monsanto »

Diffusé le 11 mars sur Arte, le Monde selon Monsanto est un énorme succès, revu plus de 100  000 fois sur le site Internet de la chaîne. Dans ce documentaire choc , Marie-Monique Robin présente les résultats d’une enquête de plus de trois ans sur Monsanto, leader mondial des biotechnologies, qui détient les brevets de plus de 90 % des OGM cultivés dans le monde. « L’une des entreprises les plus controversées de l’ère industrielle a toujours caché l’extrême toxicité de ses produits », nous dit-elle. Petit souci  : le Monde selon Monsanto se transforme bien trop souvent en le Monde selon les OGM. La journaliste s’en défend  : « Vous n’avez absolument rien compris au documentaire. J’ai mené une enquête sur Monsanto, pas sur les OGM  ! » Mais le montage aligne des images fortes, choque, joue sur le pathos et convainc par l’émotion, par une suite de syllogismes, finissant par amalgamer OGM et Monsanto.

Le travail est remarquable, l’argumentaire pertinent et convaincant. Mais plutôt que de partir de sources recoupées pour trouver une réponse, Marie-Monique Robin cherche des sources pour illustrer de façon efficace une réponse déjà trouvée de longue date dans l’esprit du public  : les OGM, c’est mal. « L’analyse économico-politique n’est pas mauvaise, dit Jean-Paul Charvet, géographe à Paris-X Nanterre, spécialiste du monde rural. Ce que je critique en revanche, c’est que l’on met systématiquement en avant les aspects négatifs sans jamais regarder ce que les OGM peuvent apporter. » Un exemple  ? « Le semis direct permet d’économiser une tonne de CO2 par hectare cultivé ».

Les qualifications de la journaliste en matière de biotechnologies et de géographie humaine sont très contestées. Normal  : elle est journaliste et non biologiste moléculaire. Mais Marie-Monique Robin exhibe comme des preuves scientifiques des données parfois erronées. Exemple avancé par Marcel Kuntz, biologiste, directeur de recherche au CNRS à Grenoble, qui a pris position contre le documentaire  : celui de fleurs monstrueuses, montrées dans le docu. « Le film insinue que ces aléatoires pourraient survenir par croisements d’une lignée transgénique de maïs avec des variétés non-transgéniques. Ce qui est faux, puisque la lignée transgénique commercialisée possède une seule insertion, qui est stable et ne saute plus aléatoirement dans le génome. » De plus, « la moitié du patrimoine génétique du maïs est formée d’éléments génétiques résultant d’insertions de fragments d’ADN, générés par le maïs lui-même, nommés rétro-transposons. »

C’est la grande faiblesse d’un film qui, plus rigoureux scientifiquement, aurait évité un catastrophisme exagéré, préjudiciable à des propos par ailleurs plus que pertinents.

                        
 

23 octobre 2008

14 - A - B - Mes cheveux sont à moi

Elles montrent ses faces. Comment les femmes changent Arabie Saoudite.

Riad – Une entrevue avec une femme saoudite est un expérimente. Est-ce que ses amis passent son numéro de portable pour le rendez-vous? Est-ce qu’elle va montrer son face ? Est-ce qu’on peut parle avec elle sans des regards méchantes des autres ? Les réponses aujourd’hui sont différentes qu’avant quelques années. Une femme dit son numéro sans hésitation au téléphone. Les hommes à la table à côté agissent qu’il n’a pas vu quand elle sourit à une étranger. Pendent la conversation elle déplace la fanchon noir, ses cheveux tombent dans sa face, la climatisation souffle de en haut, elle attire le foulard à gauche, l’oreille avec le bouc d’oreille apparaitre, elle cache ça de nouveau, montre en peu de son col. Peu après elle attache la fanchon à nouveau, pour des secondes sa tête est flagrante. « Quand vous voulez savoir quelque chose sur l’avenir de Arabie Saoudite », dit-elle « vous devez demander à une femme. »

Roi Abdallah bin Abdul Asis esseye de aménager son pays, doucement, de en haut. Le devoir gigantesque d’Abdallah ressemble – avec toutes les différences – au Pérestroïka de secrétaire général soviétique Michail Gorbatschow. À la fin des années 80 il a voulu préparer l’Union soviétique pour la survie après la guerre froide. Il a prêché une moralité que beaucoup des gens ont refusée. L’ouverture été terminée avec la faillite de la grande puissance. L’Arabie Saoudite a une de la plus grande occurrence d’huile, elle se noie dans l’argent, elle a une population jeune et croissante mais les ultras conservateurs saoudites ne veulent pas une réforme. Est-ce qu’il y a aussi le danger de délabrement ? Ou est-ce que le pays va réussir et devenir une grande puissance moderne ?

Ça dépende qu’est-ce que la femme saoudite doit faire ou doit pas faire. Les saoudites ont séparé la société dans les sexes avec l’énergie énorme. Des femmes, environ la moitié de la population, participent à peine à la vie publique pour l’instant. C’est déjà connu. C’est nouveau que les saoudites parlent et écrivent sur ce thème en public. Plus les femmes sont présent plus les réformes sont célèbres. Et à l’envers.

Dschumana al-Schami travaille sur son ordinateur dans un petit café à Riad. La journaliste dénonce les frontières dans un jour ordinaire saoudite. « Presque toujours c’est sont les hommes qui font les barrières mais les femmes deviennent leurs complices quand elles ne protestent pas. » Al-Schami est grande, elle dit ça très déterminé, de la façon on n’aime pas disputer avec elle. Des barrières, dit-elle, sont souvent fait des saoudites simples. Au débout de l’année le gouvernement royal a permis que les femmes peuvent voyager sans la compagnie d’un homme. « Un très grand soulagement pour des femmes à travail mais il y a toujours des employés dans les hôtels qui n’acceptent pas cette décision. Al-Schami écrit sur les gens comme ça dans ses articlés. Ridiculiser, ça fonctionne toujours.

« Tournez ! » dit Al-Schami dans un centre de shopping. « Un plus grand chiffre des femmes ne cache plus ses faces dans la publicité. » Dans les restaurants beaucoup des femmes vont directement et fières dans la section pour les singles où les hommes étaient tout seul quelque temps avant. « Elles sont assis à côté des hommes dans les conférences et donnent leur avis. » Avant quelques années c’était impossible que les femmes saoudites montrent leurs faces dans les magazines. Quand le magazine Financial Times a donné briefing du musical Cabaret avec une photo les bras et les jambes ont été censuré. « Aujourd’hui il y a des premières modératrices » dit Dschumana.

Mais visibilité humble seulement, ça ne suffit pas. Où est-ce que les femmes ont quelque chose à dire ? À cette question on peut donner un réponds au royaume. Là, les gens saoudite choisi peuvent en parler depuis quelques années. Le conseil de Schura siége au bout de Riad. Tout autour des palmiers, l’herbe toujours vert, Check points – en dedans des couloirs infinis. Nourah al-Yousef, cacher dans un foulard noir, participe seulement quelquefois à une séance – parce qu’elle est une femme. Mais le vote de la professeur compte dans cette comité qui propose des lois au gouvernement. « Dans la dernière séance du conseil de Schura un ministre était consulté très fort » dit Nourah al-Yousef avec plaisir délicate. « Il a commencé à crier. »

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22 octobre 2008

13 - Beckham chez le AC Milan?

Milan – David Beckham dois jouer dans l’équipe de foot AC Milan de janvier jusqu’à la fin de la saison.

« Nous sommes dans une conversation avec son conseiller et je pense, qu’il va changer exempt de frais dans quelques mois », dit le vice-présidente de Milan Adriano Galliani le « Gazzetta dello sport ».

Beckham est en ce moment sous contrat chez les Los Angeles Galaxy. Étant donné que l’équipe américaine a manqué les play-offs, la saison est terminée en octobre pour le star de foot d’Angleterre. Mais pour son retour avisé il lui faut de la pactise à jouer.

« Quand il veut traîner avec nous, il est toujours bienvenu », dit Galliani déjà dans les dernières semaines. Mail il ne va plus jouer qu’un petit jeu avec cette équipe. « Notre équipe reste intacte, Beckham est seulement un élément spécial en plus. »

21 octobre 2008

12 - attentat sur la Bundeswehr

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Il a eu un attentat aux des soldates allemands du taliban. Deux soldates et plusieurs civils ont été tus, dont cinq enfants.


Deux soldates du Bundeswehr ont été tus chez un attentat suicide près de Kundus, une ville au nord d’Afghanistan. Deux autre soldates ont été blessées, dit les gouverneur du province Kundus, Engineer Mohammad Omar, le lundi.

Cinq enfants, qui ont joué près de ce lieu, sont péri, deux enfants sont blessés, dit un speaker du NATO sans donner des informations sur la nationalité des victimes. Plusieur civils sont péri aussi.

La ministre de la Défense à Berlin a affirmé l’attentat qui s’est passé lundi à treize heures. La ministre n’a pas voulu dire quelque chose sur le chiffre des morts et les blessés.

Quelques minutes après l'attentat le taliban a revendiqué l’attentat mortel. Un speaker du taliban Sabiullah Mudschahid a dit qu’un terroriste, nominal Islamuddin a fait sauter lui-même.

La sécurité au Hindukusch s’est aggravée dans les derniers mois. Le camp du Bundeswehr été bombardé avec des missiles lundi dernier, mais personne était blessé ou tu.

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